Le prix d’une video, pourquoi on ne travaille pas à l’heure

Chez nous, trouver le « juste prix » pour les prestations vidéo de nos clients, c’est un peu comme travailler la lumière sur un tournage : ça demande du temps, du doigté, et parfois quelques ajustements. Parce que soyons clairs, le prix d’une vidéo, ce n’est pas juste une addition. C’est une équation où se croisent économies d’échelle, respect des talents et parfois… des discussions un peu musclées.

Travailler à l’heure, mais pas à moitié

Commençons par un sujet qui fâche dans l’industrie : les demi-journées. Vous savez, ces fameuses prestations de 3-4 heures qui laissent tout le monde un peu frustré – le client qui paye sans être sûr d’en avoir pour son argent, et surtout les intermittents qui perdent potentiellement le reste de leur journée. Chez La Brèche, on a pris le parti de ne pas jouer à ce jeu-là. Parce qu’un intermittent qui bloque une demi-journée pour une presta vidéo, c’est une journée entière de boulot qu’il pourrait ne pas retrouver ailleurs. Bref, une réalité du terrain que beaucoup préfèrent ignorer… mais pas nous.

« un intermittent qui bloque une demi-journée, c’est une journée entière de boulot qu’il pourrait ne pas retrouver ailleurs »

Alors, oui, on facture nos prestations de tournage, prise de son, montage, et motion design à la journée complète. Est-ce que ça passe toujours crème avec les clients ? Pas toujours. Mais c’est aussi ça, notre vision du « juste prix » : respecter le travail de chacun et s’assurer que tout le monde reparte satisfait. Ou du moins, correctement rémunéré.

Pourquoi cette transparence est cruciale ?

Parce qu’on a choisi de jouer cartes sur table. Le client sait qu’en payant une journée complète, il n’obtient pas juste des heures de boulot. Il bénéficie d’un engagement total de nos équipes, d’une tranquillité d’esprit, et de la garantie que ses projets sont entre les mains de collaborateurs motivés et justement rémunérés. Cela évite les coups de mou de l’après-midi, les “ah, désolé, j’ai un autre projet cet aprem”, et ça maintient le niveau de qualité que l’on se doit de fournir.

Mais alors, ça coûte combien, le « juste prix » ?

Ah, la question à un million (ou presque) ! Ce qu’on peut dire, c’est que notre approche n’est pas qu’une histoire de de marge. C’est aussi penser optimisation : réduire les coûts en utilisant les bons outils, les bonnes personnes et les bonnes pratiques. Oui, il y a moyen de faire des économies sans tomber dans le cheap. Par exemple, si un projet nécessite deux journées de tournage sur une semaine, on ne vous facturera pas l’intégralité de la semaine pour chaque technicien. Au lieu de ça, on optimisera les jours de travail et les besoins en matériel pour que tout le monde y trouve son compte, à commencer par vous.

Oser dire non… pour mieux dire oui

On ne va pas se mentir, il arrive que notre position sur le tarif d’une journée complète fasse tiquer certains. Et parfois, il faut savoir dire non : « Non, on ne peut pas descendre en dessous de ce tarif. » Pourquoi ? Parce qu’on refuse de rogner sur la qualité ou de compromettre les conditions de travail de nos équipes pour décrocher un contrat. Et ça, c’est aussi une forme de respect envers nos clients, car les prestations low-cost finissent rarement par générer les meilleurs souvenirs.

« Non, on ne peut pas descendre en dessous de ce tarif. »

Le juste prix, un pilier pour bâtir des partenariats durables

Si on croit dur comme fer au juste prix, c’est parce que c’est l’un des fondements de nos relations professionnelles. Travailler avec nous, c’est choisir une collaboration où transparence et équité sont de mise. On ne négocie pas juste des contrats ; on pose les bases d’un partenariat où chacun sait ce qu’il peut attendre de l’autre, où les discussions sont directes et les accords, durables.

En résumé, le juste prix chez La Brèche, c’est un crédo: assurer la juste rémunération de nos équipes, garantir la qualité de nos prestations, et construire avec nos clients des relations basées sur la confiance et la transparence. Parce qu’en fin de compte, il vaut mieux une conversation difficile aujourd’hui qu’un malentendu demain. 

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